Intermède rugby
Aujourd’hui je ne parlerai pas de rugby. J’en laisse le soin à d’autres… jusqu’à l’overdose.
Plutôt que de chanter les louanges des bleus, j’aurais, en fait, l’envie de chanter un air d’opéra, façon Pavarotti, mais ma voix ne passe pas bien à l’écrit.
Autant, alors, se murer dans le silence au lieu de se casser la voix sur des mots qui ne veulent rien entendre.
Pourtant je les aime bien les rugbymen, même si la plupart de leurs règles du jeu m’échappe. Certains sont très beaux. Ils ont une plastique impeccable qu’ils n’hésitent pas à révéler entièrement à un très large public, très friand de ce genre d’exhibitions.
N’oublions pas que c’est pour une bonne cause qu’ils se foutent à poil. Il faudrait avoir un esprit dévoyé pour dévisager sans dévotion ce qu’ils nous dévoilent, et dévaloriser leur dévouement en n’y voyant qu’une déviation érotique, voluptueusement dévastatrice.
Quel rapport y a-t-il entre le texte et la photo ?